Les Derniers Jours d'un empire (1963) de Antonio Margheriti

Ajouté par La Cinémathèque du Bis Ajouté le septembre 29, 2019 with No comments

Origine : Italie
Réalisateur : Antonio Margheriti
Acteurs : Carl Möhner, Loredana Nusciak, Ida Galli, Andrea Aureli, Piero Palermini, Giancarlo Sbragia, Nando Tamberlani, Maria Grazia Buccella, Jim Dolen, Richard Ricci, Maria Laura Rocca
Genre : Peplum
Durée : 1h 23min
Date de sortie : 28 Février 1963
Titre original : Il crollo di Roma
Critiques Spectateurs :

2.0
Plus d'information sur themoviedb : http://www.themoviedb.org/movie/27707

Pro-chrétien, le romain Marcus a été emprisonné et condamné à être dévoré par les lions par le proconsul Julius. Dans l'arène, à l'instant suprême, Marcus est libéré par des complices et s'enfuit avec son épouse Licia. Aux environs de Rome, sur les montagnes, les barbares se regroupent pour aider les chrétiens. De retour de lointaines expéditions, l'empereur Caius donne à Marcus l'occasion de se justifier. Ce dernier, aidé d'une jeune barbare depuis que son épouse est décédée, triomphera de Julius et laissera derrière lui Rome, secouée par un tremblement de terre...

Qualité : DVDRIP
Format : Avi
Langue :

True French

Hébergeur :

uptobox.com
Tailles des fichiers : 1 x 1654 Mo
Nom de la release : Les Derniers Jours d'un empire (1963) - VF - Antonio Margheriti
Taille totale : 1654 Mo
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NAWAKULTURE " Pas finaud mais sympa, ce peplum ultra-bis montre de beaux décors aux couleurs d’automne, un agneau de dieu qui se bat comme un lion (enfin un guerrier dont la musculature normale ne rappelle pas les demi-dieux à la Steve Reeves 3 & co.), de jolies danseuses court vêtues mais aussi de chouettes scènes de mort et de destruction, de jeux cruels autour de chaînes et de feu rythmés par des accords de cuivres menaçants (Riz Ortolani dans ses œuvres !), on regrette simplement une fin un peu longue mais rigolote et symptomatique du déclin du genre (qui n’empêchera pas Margheriti de revenir avec deux derniers peplums l’année suivante, on en reparlera) ainsi que des doublages pas toujours fute-fute et des exagérations de ferveur dégoulinante qui font d’une femme une nouille énamourée alors qu’amazone elle n’a que peu d’égaux, pfff. "

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