L’infirmière a le bistouri facile (1981) de Michele Massimo Tarantini
Ajouté par La Cinémathèque du Bis
Ajouté le janvier 12, 2021
with 7 comments
Origine : Italie
Réalisateur : Michele Massimo Tarantini
Acteurs : Nadia Cassini, Lino Banfi, Alvaro Vitali, Malisa Longo, Bruno Minniti, Lucio Montanaro, Enzo Andronico, Dino Cassio, Thomas Rudy, Luciano Amodio, Valentino Simeoni, Salvatore Furnari
Genre : Sexy comédie
Durée : 1h 34min
Date de sortie : 11 Novembre 1980
Titre original : La dottoressa ci sta col Colonnello
Critiques Spectateurs : 2.7
Plus d'information sur themoviedb : http://www.themoviedb.org/movie/127746
Format : Avi
Langue : True French
Codec vidéo : DivX
Hébergeur : multiup.org
Découpage : Aucun
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Nom de la release : L'Infirmière a le bistouri facile (1981) - VF - Michele Massimo Tarantini - TUCO
Taille totale : 1432 Mo
Néant
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Michele Massimo Tarantini,
Sexy comédie
Ce qu'il y a d'amusant, dans ces films, ce n'est évidemment pas l'humour, ou alors de manière abyssale, ni même l'histoire, avec deux ou trois trames, mais bien le fait que le réalisateur, l'actrice, l'affiche soient totalement interchangeable de film en film ! Impressionnant ! IL n'y a guère que le genre et ses codes qui demeurent.
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne, le meilleur demeure La liceale avec Gloria Guida, qui bénéficie d'ailleurs d'une bonne bo.
C'est un genre que je connais assez mal... mauvrais apprioris surement... faudrait que je m'y intéresse :)
SupprimerAh oui ? Je pensais pourtant que tu regardais ou, à défaut, tu connaissais la plupart des films que tu éditais ! Pour les sexy comédies,à mon sens, il n'y a précisément pas grand chose à voir à part les affiches ou les actrices !
SupprimerLes connaître oui, tous les voir c'est différent ! lol
SupprimerAprès vu la quantité de films qui compose le cinéma bis, c'est compliqué de tout voir, alors je sélectionne quand même ;)
Pour ma part, je gredouille dedans depuis 1994, quand des amis, pour une soirée film d'horreur, m'avaient demandé de trouver le meilleur film d'épouvante. Ce fut l'ENFER DES ZOMBIES, un film que j'avais déjà vu plus jeune, et qui me renouvela un gros choc lors de cette seconde édition. J'ai tiré la languette Lucio Fulci, puis Argento (l'oiseau et le chat avaient été diffusé par FR3 dans les années 80 tard le soir) bien que j'avais déjà vu quelques films bis sympathiques (au cinéma IRon Master puis Atomic cyborg) ainsi que d'autres à la télévision (les post nuke).
SupprimerC'est simple, en ce qui concerne le cinéma de genre italien.
IL ne m'a jamais vraiment déçu, en terme d'intérêt, je trouve toujours une facette à apprécier (les affiches, les films...) et, surtout, c'est un véritable océan ! On pense le connaitre un peu prés puis on découvre toujours des nouveaux films.
Sa disparition fut un véritable gâchis et, surtout, aucun autre courant n'a jamais connu une telle richesse !
Bien à toi !
Tu as absolument tout dis ! Pour ce site, je tends vers l'exhaustivité, mais je pense que je n'y arriverais jamais en fait... Il y a tellement à découvrir encore, tellement de tiroirs à ouvrir, tellement de pays dont on a encore rien explorer... Il y a des milliers de titres à proposer... j'ai encore du travail ;)
SupprimerMerci encore pour tes commentaires toujours de grande qualité :)
Tu as déjà accompli un travail énorme !
SupprimerCrois-moi !
Pour ma part, je pense qu'il y a environ 550 westerns spaghetti ou ibériques, 150 gialli, peut-être 100 en fait, 100 poliziotteschio (le genre alors le moins exportable), les sexy comédies, les déviants, l'horreur...Tout cela pour les années 70 !
On produisait alors des films pour pas cher, notamment pour l'été avec de petites vedettes locales, et certains pas mal du tout !
C'était alors une industrie vivante et dynamique, avec quelque chose comme 200 producteurs (selon les dires de Luigi Cozzi), mais qui diminuèrent à une poignée à la fin des années 80 pour devenir dramatique, le nombre de films italiens serait vraiment faible, à part les panettoni, les comédies de fin d'année au moins aussi mauvaises que les nôtres.
Curieusement, le nombre de producteurs indépendants, dont les films rencontraient des débouchés, des écrans, un public, était un facteur de viabilité. Ce fut Berlusconni, et ses deux chaines achetées, les Rai 2 et 3, qui passaient alors des films locaux. Les salles de cinéma s'effondrèrent, cela dès 1978-80 comme 1984/86 chez nous avec l'arrivée de Canal+ et des vidéo-clubs !
Amicalement